• Le Sentier des arts

     

     

        Après la semaine de rentrée, nous nous sommes retrouvées plongées dans le projet du festival le "Sentier des Arts" 2020. Nous avons dû danser autour et avec trois œuvres artistiques contemporaines. Il s'agissait d'une première approche afin de voir notre capacité à mémoriser,des chorégraphies, notre faculté de composition et d'adaptation, tout ça dans le but d'apprendre à nous connaître pour l'année à venir.  

     

    Savoir-faire demandé : Interpréter une œuvre chorégraphique

    • Savoir :
    • Techniques de mémorisations
    • Techniques d'interprétations
    • Appropriation de l'espace scénique
    • Techniques de groupes
    • Techniques de créations

     

    La première chorégraphie se déroule autour de l’œuvre "La Rebelle et le vent", dirigé par Anne-Charlotte Couillaud. C'est une chorégraphie axée sur le thème du vent et du déséquilibre. Une première base nous a été transmise. Nous avons ensuite dû créer des minis-solos qui ont été incorporés au reste de la chorégraphie, ainsi qu'un mixe d'improvisations dirigées, toujours sur le thème du déséquilibre. Libre interprétation moyenne

     

     

    La deuxième chorégraphie, elle, son œuvre se trouve "être dans les nuages", par Géraldine Renouilleau. Nous sommes quatre interprètes, divisées en deux duos, avec un travail de manipulation du corps de l'autre. Il faut être à l'écoute de l'autre pour ne pas emmener le corps de son partenaire dans une mauvaise posture, notamment dans notre cas, car la manipulation se passait par la tête. Les costumes nous empêchant une visibilité correcte, il faut être deux fois plus vigilant, et à l'écoute de la musique car il est impossible pour nous de se repérer à la vue. De plus, il nous a fallu danser avec la contrainte de tourner le moins possible la tête dos au public, sinon, la magie de la chorégraphie s'envole. Grande capacité d'interprétation.

     

     

    La troisième chorégraphie, se trouve être une "Ôde", de Benoît Savignat, et la difficulté de cette œuvre s'inscrit dans le fait, que nous en dansions à l'intérieur. Il fallait tout comme pour la chorégraphie précédente faire attention à son environnement. La chorégraphie très écrite, en canon avec des qualités bien précises (doigts comme des bulles de savon pétillantes, corps en flottement ou une légère ondulation éternelle) laissait peu de liberté d'interprétation. Il fallait connaître la musique par cœur, mais aussi rester à l'affût de ses partenaires, si l'un d'eux venait à rater son départ, afin de ne pas se retrouver en même temps, le tout sans détruire l’œuvre.

     

     

    « [Sans titre pour l'instant]Bravo ! »
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