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    Pour la préparation physique, nous avons eu Sophie Dugas en coach sportive toute l’année. Celle-ci utilise la méthode De Gasquet, complémentaire aux pilates effectué avec Géraldine. Nous utilisions de fait souvent la même respiration.

     

    Savoir-faire demandé : Renforcement des meilleures postures du corps - Travailler la musculature profonde

    • Savoirs :
    • Techniques de respirations
    • Techniques de gainages
    • Techniques de positionnement
    • Travail avec des outils spécfiques

     

    Tous les mardis soirs on faisait du renforcement en salle, et des séances plus théoriques avec parfois des outils de relaxation comme des rouleaux vibrants, ou des pistolets de massage. Ça ma été très bénéfique, je sens mieux mon corps dans l’espace, avec les bonnes positions de renforcement musculaire, même s’il me subsiste des doutes par moments.

    Les jeudis matins nous courrions le long de la côte, en incorporant des exercices de gainage, d’étirements ou bien des montées-descentes d’escalier. Le but étant de rester en aérodynamie afin de repousser ses limites sans s’épuiser. En aérodynamie, nous ne rejetons pas de liquide lactique dans nos muscles, sans quoi nous ne sommes pas fatigués. De plus pendant les différentes sessions de course, nous discutions beaucoup avec Sophie, qui nous conseillait du mieux qu’elle le pouvait. Quelque fois je me suis retrouvée seule avec elle comme mes deux camarades étaient malades, et discuter avec elle m’a souvent aidé à me sentir plus en confiance d’une manière générale, mais aussi dans les autres disciplines.

     

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    En sophrologie, nous avons eu une ancienne élève de Benoît qui était également professeure de danse également, Clarisse Thenaud.

     

    Savoir-faire demandé : Réaliser des exercices de sophrologie - Travailler la détente de l'esprit

    • Savoirs :
    • Techniques de respirations
    • Exercices de sophrologie
    • Techniques de demi-sommeil

     

     

     

      La sophrologie a été une excellente découverte cette année. Bien que j’ai pû avoir des difficultés aux premières séances, un peu pour les mêmes raisons qu’en Yoga. Mais vu que nous rentrions moins à l’intérieur de nos soucis personnels, et au contraire discuter des différentes notions comme les causes du stress, la confiance en soi, la paresse, leur utilité, leur raisons, j’ai été vite en confiance, et participait. Ce la m’a amené à me remettre plusieurs fois en question, et je pense, que c’est un facteur qui fait que j’ai plus confiance en moi aujourd’hui. Aujourd’hui, je pense être plus sereine quand j’aborde des nouveaux points, je ne culpabilise plus de procrastiner quand ça arrive, je me dis au contraire que j’écoute mon corps qui fatigue ou n’est peut-être pas prêt. De cette façon je ressens beaucoup moins le fait de travailler comme étant un « labeur » ou une « tâche », et je reprends ce que j’ai faire naturellement un peu plus tard.

      De plus les séances de relaxation en état de demi-sommeil m’ont parfois allégées de certains soucis, parfois c’était une bonne demie-sieste revigorante, et nous ne nous souvenions plus de ce qu’elle nous racontait. En revanche, comme Clarisse nous envoyait ses audios de relaxation… et nous remarquions qu’en les écoutant nous nous en souvenions.

     

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      En yoga nous avons eu Marie-France Fumeau pendant toute une partie de l’année. J’avais déjà pratiqué un peu de yoga auparavant basé uniquement sur les poses, mais avec elle c’était radicalement différent.

     

    Savoir-faire demandé : Renforcement des meilleures postures du corps - Travailler la souplesse profonde

    • Savoirs :
    • Techniques de respirations
    • Pratique du yoga
    • Techniques de positionnement
    • Vocabulaire yoga
    • Médecine chinoise

     

    Nous pratiquions peu de poses, généralement une demie-heure avant la fin de la séance, et pratiquement toujours les mêmes. Elle nous interrogeait beaucoup sur notre état physique, et mental, nous conseillais différentes poses à faire chez soi, ou d’autres méthodes de relaxation. Elle nous a longuement parlé des différents méridiens du corps via la médecine chinoise, auxquels j’ai eu du mal à croire. Néanmoins en séance de kinésiologie j’ai eu l’occasion le vérifier. En yoga, comme en pilates, la respiration est importante, même si elle n’est pas aussi engagée. J’ai trouvé à plusieurs reprises ce cours plus intrusif que les autres, et je me suis sentie souvent mal à l’aise. Etant réservée et introvertie, j’ai souvent trouvé ses questions trop intimes, et la respiration des différents exercices m’a mis plusieurs fois en hyperventilation.

     En revanche, il est vrai qu’au fur et à mesure de l’année, j’avais de moins en moins de tensions dans les différentes positions yogiste, et je n’ai pas le souvenir d’avoir eu des courbatures insoutenables comme j’avais déjà pû en avoir auparavant avant elle.

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     Cette année en pilate nous avons eu deux professeures, Géraldine Rouilleau avec la méthode De Gasquet et Karine David, une ancienne danseuse jazz reconvertie aux pilates.

     

    Savoir-faire demandé : Renforcement des meilleures postures du corps - Travailler la musculature profonde

    • Savoirs :
    • Techniques de respirations
    • Techniques de gainages
    • Techniques de positionnement
    • Vocabulaire pilate
    • Travail avec des outils spécifiques

     

    Le pilate touche directement au plancher pelvien via la respiration. L’objectif en pilate est de caler sa respiration avec une action physique tout en engageant son plancher pelvien. Autrement dit avant d’expirer on vient bloquer la respiration et contracter le périnée comme si on se retenait d’aller aux toilettes. Puis on expire, et au lieu de relâcher le ventre, le nombril est aspiré vers le sacrum ce qui entraîne une contraction musculaire au niveau de nos abdos profonds. On se laisse inspirer tranquillement sans relâcher la contraction musculaire, et on recommence. En calant la respiration avec une action physique, notre centre se retrouve fortement engagé nous permettant d’être solide en cas de déséquilibre, nous permettant d’effectuer nos mouvements en tout sécurité. Que ce soit avec Géraldine ou Karine, j’ai eu du mal avec cette respiration différente, difficile à sentir pour moi. Mais en persévérant même si j’avais du mal à sentir, et que ma respiration n’était pas toujours automatique, j’ai fini par de mieux en mieux l’intégrer, et aujourd’hui j’essaie de l’appliquer dans ma vie de tous les jours à chaque fois que j’y pense.

     

    Avec Géraldine, qui est aussi professeure de danse contemporaine, nous avons travaillé à l’aide sangles. Celle-ci nous aide à cibler la zone à renforcer en plus du plancher pelvien. Ainsi, en la posant au-dessus de notre tête en la tenant de chaque côté (sans tirer), nous travaillons l’auto-grandissement, notion indispensable en danse mais aussi pour éviter une hernie discale… Cela renforce notre centre, mais aussi tous nos muscles du dos.

    Avec Karine, nous avons travaillé avec des magic circle, rouleau, tableboard, ou des ballons comme on le fait plus traditionnellement en pilates. Le fait de travailler avec ces accessoires ou machines, peut nous permettre de constater où nous engageons le plus de force, et si c’est plus d’un côté que de l’autre, c’est qu’on a tendance à compenser avec son côté plus fort. Si on se retrouve déséquilibré, ou plus enfoncé, il faut réussir à renforcer son côté plus faible si on veut éviter un déséquilibre de force entre son côté gauche et son côté droit.

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